De retour sur Paris, il est temps de faire un petit bilan des sorties vélo durant ces vacances estivales 2014.
Je m'étais préparée à monter les cols en m'astreignant à 3 cours de spinning/biking/RPM par semaine depuis le mois de mai...au final, ça m'a sûrement aidée mais ça n'a pas rendu les ascensions plus faciles!
En 2 semaines dans les Hautes Alpes, j'ai fait 5 sorties:
2 x Puy Saint-Vincent - Puy-Aillaud.
Le première fois jusqu'à la station la plus basse à 1400m pour me mettre en jambes, puis la 2nde fois jusqu' à 1600m.
Rien à avoir avec l'Izoard ou le Galibier mais ce sont de bonnes petites côtes qui cassent bien les pattes quand-même!
Col de l'Izoard.
C'était long, j'ai été littéralement attaquée par les mouches mais le paysage est magnifique. Et j'ai eu droit à un coca (je l'ai apprécié celui-la!) en guise de récompense au sommet! Lâchement, j'ai rebroussé chemin une fois en haut car je ne me sentais pas capable de suivre Olivier dans une 2nde ascension du col.
Col du Galibier par les deux versants
La sortie la plus longue et la plus éprouvante. J'étais super contente lorsque nous sommes arrivés au sommet lors de la première ascension car je me sentais à l'aise comparée à l'année précédente. Par contre la suite a été plus corsée. D'abord avec la descente de 16km jusqu'à Valloire, car pour ceux qui ne le savent pas, je suis terrorisée dans les descentes! Puis une fois en bas, ben il a fallu tout remonter...et là j'ai regretté tout le chocolat, les gâteaux et les viennoiseries que je me suis enfilés cette année sous prétexte que je fais du sport!! Mais encore une fois, malgré la souffrance, ça en vaut tellement la chandelle. Les paysages sont juste magnifiques
Descente de Puy Saint-Vincent en VTT tout suspendu
Nouveauté cette année, j'ai testé le VTT pour apprendre à maitriser un peu mieux ma frousse de la descente. J'ai été servie en émotions car il s'agissait de redescendre depuis la station à 1800m en passant par des petits chemins de rando étroits, raides et bardés d'énormes blocs de cailloux et de racines. Au début, j'avoue que je suis descendue du vélo quand c'était trop pentu puis finalement, je me suis lancée...et c'est passé! Même pas mal! Je crois que je recommencerai l'année prochaine.
Donc un bon bilan avec le mythique col de l'Izoard accroché à mon tableau de chasse! Merci mille fois à Olivier de m'avoir supportée et attendue dans les moments difficiles!
Je m'étais préparée à monter les cols en m'astreignant à 3 cours de spinning/biking/RPM par semaine depuis le mois de mai...au final, ça m'a sûrement aidée mais ça n'a pas rendu les ascensions plus faciles!
En 2 semaines dans les Hautes Alpes, j'ai fait 5 sorties:
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| Puy Saint-Vincent 1600 |
Le première fois jusqu'à la station la plus basse à 1400m pour me mettre en jambes, puis la 2nde fois jusqu' à 1600m.
Rien à avoir avec l'Izoard ou le Galibier mais ce sont de bonnes petites côtes qui cassent bien les pattes quand-même!
Col de l'Izoard.C'était long, j'ai été littéralement attaquée par les mouches mais le paysage est magnifique. Et j'ai eu droit à un coca (je l'ai apprécié celui-la!) en guise de récompense au sommet! Lâchement, j'ai rebroussé chemin une fois en haut car je ne me sentais pas capable de suivre Olivier dans une 2nde ascension du col.
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| Vue depuis le col du Galibier |
La sortie la plus longue et la plus éprouvante. J'étais super contente lorsque nous sommes arrivés au sommet lors de la première ascension car je me sentais à l'aise comparée à l'année précédente. Par contre la suite a été plus corsée. D'abord avec la descente de 16km jusqu'à Valloire, car pour ceux qui ne le savent pas, je suis terrorisée dans les descentes! Puis une fois en bas, ben il a fallu tout remonter...et là j'ai regretté tout le chocolat, les gâteaux et les viennoiseries que je me suis enfilés cette année sous prétexte que je fais du sport!! Mais encore une fois, malgré la souffrance, ça en vaut tellement la chandelle. Les paysages sont juste magnifiques
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| Sortie VTT: Vue depuis Puy Saint-Vincent |
Nouveauté cette année, j'ai testé le VTT pour apprendre à maitriser un peu mieux ma frousse de la descente. J'ai été servie en émotions car il s'agissait de redescendre depuis la station à 1800m en passant par des petits chemins de rando étroits, raides et bardés d'énormes blocs de cailloux et de racines. Au début, j'avoue que je suis descendue du vélo quand c'était trop pentu puis finalement, je me suis lancée...et c'est passé! Même pas mal! Je crois que je recommencerai l'année prochaine.
Donc un bon bilan avec le mythique col de l'Izoard accroché à mon tableau de chasse! Merci mille fois à Olivier de m'avoir supportée et attendue dans les moments difficiles!
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